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Category: Multimédias

Kichi Sibi – À la découverte de l’histoire ancienne de notre région

Source: Musée canadien de l’histoire

À l’intention des étudiants au secondaire

Sommaire: Kichi Sibi, qui veut dire « grande rivière » en Algonquin, offre un aperçu de l’histoire ancienne de la vallée de l’Outaouais grâce aux objets-témoins découverts dans la région. Les pique-niqueurs, les excursionnistes, les fermiers et les archéologues amateurs ont trouvé ces objets au cours des 150 dernières années et les ont remis aux musées. Leur générosité, leur travail ardu et leur sollicitude à conserver le passé nous ont sensibilisés à l’histoire ancienne de la vallée.

L’enregistrement archéologique révèle la présence d’Autochtones dans la vallée de l’Outaouais depuis environ 8500 ans. Les artefacts qu’on y a trouvés témoignent des changements indubitables du territoire et du mode de vie des habitants de la région au fil du temps. C’est d’ailleurs l’étude de ces changements, attestés par le style et l’usage des objets, qui a permis aux archéologues de distinguer plusieurs périodes de temps.

Jeux Inuits

Source:  “ Elliott Avedon Virtual Museum of Games”
À l’intention des étudiants du primaire et du secondaire

Sommaire: Les groupes culturels aborigènes qui vivent dans de petites enclaves sur les régions côtières du Canada, du Groënland, de l’Alaska et du Nord-est de la Sibérie s’appellent Inuit or Yuit, mot qui veut dire “le peuple”.

De nombreux jeux Inuits sont traditionnels et ne nécessitent aucun équipement. Ces jeux demandent de la force physique, de l’agilité et de l’endurance. Il se pourrait que certains jeux traditionnels aient été appris en Asie avant que les Inuits franchissent le détroit de Béring (environ 2000 ans avant JC) alors que d’autres jeux ont été sans aucun doute appris après la migration; ils furent le résultat du contact des peuples aborigènes du sud qui avaient émigré de l’Asie beaucoup plus tôt pour s’installer aux Amériques.

Raconter: Narrations Autochones et medias numérique

Source: Site Web zéro d’horizon, un magazine de Web de multimédia au sujet d’art numérique et culture au Canada ; un espace virtuel bilingue a consacré à la créativité et aux idées critiques dans un nouveau canon de médias.

À ‘intention de : Études secondaires françaises et d’indigène

Résumé: L’issue 17 de l’horizon zéro est une collection numérique interactive consacrée à la fabulation indigène.

Une expédition archéologique à Kuukpak

Source: Patrimoine canadien: Centre du patrimoine septentrional Prince-de-Galles – Yellowknife, T.N.O.

Résumé : Cette exposition fait partie du programme d’apprentissage en ligne « Voyage avec Nuligak », préparé par le Centre du patrimoine septentrional Prince-de-Galles et de l’Inuvialuit Cultural Resource Centre.

« Voyage avec Nuligak » est inspiré d’expériences de vie réelles de Nuligak (Bob Cockney), un Inuvialuit qui a vécu dans l’ouest de l’Arctique canadien de 1895 jusqu’à sa mort, en 1966 Nuligak a été l’un des premiers Inuvialuits à apprendre à lire et écrire. Son autobiographie, ¨I, Nuligak¨, publié en 1965, est une source précieuse d’information sur la vie traditionnelle inuvialuite.

Les Kuukpangmiut étaient l’un des groupes ancestraux des Inuvialuits de l’ouest de l’Arctique canadien. Ils ont surgi de la nuit des temps, dans des histoires racontées par des aînés inuvialuits comme Nuligak.

Kuupangmiut signifie Peuple du Kuukpak, ou du « grand fleuve », le nom donné par les Inuvialuits au fleuve Mackenzie. Kuukpak était également le nom d’un village kuukpangmiut.

Un visage, un nom

Source: Bibliothèque and Archives Canada
À l’intention de: Enseignement secondaire

Résumé : Un visage, un nom vise à trouver le nom des Inuits représentés dans certaines collections photographiques de Bibliothèque et Archives Canada (BAC), à Ottawa. Il s’agit d’un projet permanent, qui aide les jeunes du Nunavut à établir des liens avec les aînés de leurs collectivités et à mieux comprendre leur passé. Il contribue aussi à combler l’écart culturel et la distance géographique entre le Nunavut et les régions du Sud du pays.

Un visage, un nom a été réalisé avec la collaboration du Nunavut Sivuniksavut qui offre un programme collégial spécial établi à Ottawa à l’intention des jeunes Inuits du Nunavut; celle du ministère de la Culture, de la Langue, des Aînés et de la Jeunesse (MCLAJ) du gouvernement du Nunavut, ainsi que celle de BAC.

Dans le but de souligner l’importance de la langue dans le cadre du projet Un visage, un nom, cette exposition Web est offerte en inuktitut, en français et en anglais. Afin de visualiser Un visage, un nom en langue inuktitut, il vous faut la police de caractères Pigiarniq. Vous pouvez en effectuer le téléchargement, pour le PC ou le Mac, à : www.gov.nu.ca/english/font/.

La section témoignages du Nunavut contient de la documentation écrite et audio qui explique la méthode de cueillette de l’information pour Un visage, un nom, ainsi que des témoignages individuels de la part des aînés et des jeunes au sujet du projet.

La section portant sur la langue inuktitut offre un historique de l’élaboration des systèmes d’écriture.

La consultation de la section collections de photos vous donne une vue d’ensemble des collections photographiques Bibliothèque et Archives Canada (BAC) qui font partie de ce projet.

Afin d’avoir accès à toutes les images numérisées dans le cadre du projet Un visage, un nom, vous pouvez consulter la section consultation de la base de données. La base de données regroupe à cet égard des photos de personnes dont le nom a été trouvé grâce à ce projet, ainsi que des photos de personnes encore anonymes. Cette section montre également des photographies de personnes récemment identifiées, dont les collectivités ont été indiquées sur la carte du Nunavut. À ce jour, les aînés du Nunavut ont pu se souvenir des noms de centaines de personnes; la tâche consistant à trouver davantage de noms de personnes figurant sur d’autres photos se poursuit.

La suite du projet montre des visages restés inconnus et invite les utilisateurs à faire parvenir les renseignements pertinents liés à l’une ou l’autre de ces photos.

Activités du projet offre une description de quelques activités du projet Un visage, un nom depuis le lancement de l’exposition a lancé première en octobre 2004.

La rubrique ressources complémentaires comprend une sélection de livres, articles, thèses, films, vidéos et sites Web connexes.

Tamis de bois et jambières de laine: Traditions toujours présentes des premières nations du Canada

Source: Musée de la civilisation (Québec), du Musée royal de l’Ontario (Toronto) et du Réseau canadien d’information sur le patrimoine (Ottawa).
À L’intention: des étudiants du secondaire

Résumé : Cette exposition met en valeur des objets provenant des premières nations de ce qui est maintenant le Canada. Les collections présentées ici regroupent environ cent quatre-vingts objets représentant plusieurs des premières nations du Canada. Plus de soixante objets sont de la collection du Musée royal de l’Ontario et une centaine de pièces font partie de la collection du Musée de la civilisation de Québec. Même si les divers groupes sont représentés d’une manière inégale, cette exposition donne une vue d’ensemble de la culture des premières nations du Canada.

De la même façon que les premières nations sont liées et solidaires dans leurs actions et leurs principes aujourd’hui, ces artefacts témoignent d’une continuité dans la tradition à toutes les époques et quels que soient les moyens d’expression. Dès avant la colonisation par les Européens et jusqu’à nos jours, les Amérindiens et les Inuit ont développé des techniques de fabrication adaptées à leurs besoins et à leurs ressources. Ils se sont servis de matériaux tirés de leur environnement immédiat et ont illustré des effigies, des motifs animaliers, des symboles légendaires et des formes géométriques de façon à transmettre leur pensée culturelle. Ces figures rehaussent tant les objets usuels et cérémoniels anciens que les pièces artistiques.

Avec le développement des relations commerciales avec les Européens et les Canadiens d’origine européenne, les premières nations ont incorporé des matériaux étrangers dans leurs outils et ustensiles. Dans de nombreux objets, les nouveaux matériaux ont étés incorporés au moyen de techniques de fabrication traditionnelles.

Cette façon de faire a cours encore aujourd’hui, alors que l’expression artistique fait appel à des matériaux contemporains pour représenter des thèmes traditionnels. À l’inverse également, des matériaux traditionnels véhiculent souvent des messages tout à fait d’actualité. Les objets qui suivent ont été regroupés dans trois cadres reflétant les types de matériaux utilisés dans leur confection.

  1. Objets faits uniquement de matériaux naturels
  2. Objets faits en tout ou en partie de matériaux de traite

Objets usuels et artistiques contemporains, faits d’une gamme de matériaux modernes ou naturels.

Que Sont Les Enfants Devenues?

Source: Patrimoine canadien, Bibliothèque et Archives Canada. Donna Cona, la Fondation autochtone de guérison et Jeff Thomas, le conservateur.
À L’intention des : étudiants de secondaire

Résumé : La Fondation autochtone de l’espoir a été créée pour s’attaquer aux répercussions à long terme des abus sexuels et physiques subis par les enfants et leurs familles dans beaucoup de pensionnats autochtones. Les blessures psychologiques sont profondes et ont été transmises de génération en génération. La guérison est un processus graduel qui exigera du temps et de la patience.

Un objectif important de la travail est de sensibiliser davantage le public canadien à la question des pensionnats indiens et de tenter de l’aider à comprendre les répercussions qu’ont eues ces pensionnats sur la vie des Autochtones. Mais un autre objectif tout aussi important est d’amorcer un processus de réconciliation entre les générations des peuples autochtones, et entre les Autochtones et les non Autochtones.

Toute personne qui appartient à une communauté des Premières Nations, des Inuits et des Métis a été touchée par l’expérience des pensionnats indiens. Une compréhension de ces problèmes est la seule manière d’entreprendre ensemble ce processus de guérison.

L’importance de cette exposition virtuelle a vraiment été mise en lumière en 2001, au moment où des jeunes Autochtones, à l’occasion d’une réunion consultative sur la jeunesse de la Fondation autochtone de guérison, ont démontré un manque de connaissances à propos de l’histoire des pensionnats indiens. On était d’avis qu’une sensibilisation à ce chapitre de leur histoire devrait constituer le facteur central de la guérison et de la réconciliation.

Porter son identité. La collection Premiers Peuples

Source: Musée McCord
À L’intention des étudiants secondaire

Résumé : Les questions d’identité sont au cœur de nombreux débats dans notre société en constante évolution. Des langues et des traditions sont menacées d’extinction. Un savoir-faire, des croyances et des histoires uniques risquent alors d’être complètement éradiqués. Les Premiers Peuples connaissent bien les défis et les tensions qui peuvent éroder le sentiment d’identité et d’appartenance. Mais ils ont fait preuve d’une résilience remarquable, sachant préserver leurs identités ancestrales et en forger de nouvelles.

Qu’ils puisent dans les riches textures du passé ou qu’ils transforment avec audace la mode contemporaine, les Premières Nations, les Inuits et les Métis utilisent le vêtement pour exprimer la force et le sens de leurs vies. Explorer l’habillement des Premiers Peuples est une expérience fascinante et émouvante, où il faut suivre les fils étroitement tissés de la communauté et de la spiritualité, de la résistance et de l’accommodement, de l’histoire et de l’innovation.

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