Les Ressources

Recherche :
Catégories de ressources :

Category: Multimédias

L’océan, l’eau douce, et nous

Source: Canadian Geographic

À l’intention des étudiants au secondaire

Résumé: Cette ressource a été co-conçue par une équipe nationale de partenaires pour éduquer les élèves, les enseignants et le grand public sur le lien que nous avons tous avec l’eau, peu importe où nous habitons au Canada. Le Canada possède le plus long littoral de tous les pays du monde et environ 20 % des ressources en eau douce de la planète. Cette ressource nous incite à mieux comprendre et à agir pour protéger les voies navigables locales et de l’océan mondial. Sur cette carte sont mis en évidence les bassins hydrographiques du Canada, qui comprennent des flèches de débit pour indiquer la direction dans laquelle l’eau se déplace vers l’océan, ainsi que l’étendue de la glace de mer arctique. En plus des couches d’eau sur la carte, l’élément humain (le « nous ») est également mis en évidence à travers les couches de conservation et les différents types d’aires protégées marines et d’eau douce. Les villages, villes et cités (fortement orientés vers le sud du pays) sont également inclus, ainsi qu’un éclairage particulier sur les communautés autochtones, les traités et les langues autochtones parlées dans l’ensemble de ce que nous appelons maintenant le Canada.

Les Premiers Peuples du Canada: Racontant l’histoire de peuples et leur présence continue au Canada

Source: Musée  Canadien de l’Histoire

À l’intention des étudiants  au secondaire

Résumé: Cette exposition virtuelle jette un regard sur certains aspects de l’histoire des peuples autochtones du Canada. Elle souligne la lutte que mènent ces derniers pour préserver leur culture et montre la richesse de leurs contributions à l’époque contemporaine. L’exposition est basée notamment sur l’information et les artefacts qui sont présentés dans la salle des Premiers Peuples du Musée canadien des civilisations. Ni l’une ni l’autre de ces expositions ne prétend présenter de façon exhaustive l’histoire de tous les groupes autochtones du pays. Elles explorent plutôt des aspects de l’identité culturelle sous quatre thèmes : la diversité de l’expression culturelle autochtone; la façon dont la présence autochtone se manifeste au Canada aujourd’hui; l’adaptation de modes de vie traditionnels à différents environnements à travers le pays; et l’impact de l’arrivée et de l’établissement d’Européens au cours des cinq derniers siècles.

Les Premières Nations | atlas des peuples autochtones du Canada

Source: Canadian Geographic

Résumé: Depuis des temps immémoriaux, nous avons recours à la tradition orale pour transmettre nos connaissances d’ une génération à l’ autre. Croyances, histoire, valeurs, pratiques, coutumes, rituels, relations et modes de vie sont ainsi enseignés. C’ est par la bouche de nos aînés, de nos leaders, des membres de nos communautés et de nos jeunes que notre culture et nos savoirs ancestraux sont préservés et perpétués. Ces enseignements font partie intégrante de qui nous sommes en tant que nations, communautés, clans, familles et individus.

Voici donc nos histoires, magnifiquement présentées dans les pages de cet incroyable Atlas des peuples autochtones du Canada. C’ est un honneur de vous offrir en cadeau ce tableau remarquable et extraordinaire de nos expériences et de nos visions du monde.

Un cadeau pour la communauté Wolastoqiyik Wahsipekuk

Source: Première Nation de Wolastoqiyik Wahsipekuk

Sommaire: Ce projet a été développé à partir d’une simple idée: celle de reconnecter les membres de la communauté Wolastoqiyik Wahsipekuk avec la langue de leurs ancêtres: le wolastoqey latuwewakon.

Comme les seuls locuteurs restants de cette langue s’expriment principalement en anglais, il n’y avait pas d’outils d’apprentissages disponibles pour les Wolastoqiyik francophones.

Cet outil trilingue constitue une première. Non seulement il vise à favoriser la survie et l’apprentissage de notre langue ancestrale, mais aussi à rapprocher toutes les différentes communautés de notre nation qu’elles se trouvent au Québec, au Nouveau-Brunswick ou dans l’État du Maine.

Notre langue ancestrale, le wolastoqey latuwewakon est notre richesse, notre patrimoine collectif. Elle décrit notre mode de vie, nos traditions, nos valeurs. Elle honore notre territoire et nous donne accès à notre héritage si précieux.

Alors, parlons maintenant : Wolastoqewatu ! Nos ancêtres nous entendent !

Voix d’ici

Source: Historica Canada

Sommaire: La série d’histoire orale « Voix d’ici » présente les récits des participants autochtones grâce à des entrevues. Leurs récits mettent en lumière des histoires de résilience et de résurgence qui ont souvent été mis de côté dans le curriculum et dans le cadre scolaire.

Assemblée Législative d’ Assiniboia: Activités et Ressources

Source: Assemblée Législative d’ Assiniboia

Sommaire: Au cours de l’été, de l’automne et de l’hiver 1869, les résidents de la colonie de la Rivière-Rouge craignaient de plus en plus que leur vie soit perturbée par le transfert de leur territoire au Canada. La population craignait qu’un gouvernement étranger ne tienne peut-être pas compte des habitants dans sa façon d’administrer leur colonie. À cette époque, un vide administratif menaçait gravement la paix et la sécurité de la colonie. Le transfert de terres – de la Compagnie de la Baie d’Hudson à la Couronne d’Angleterre, puis au Canada — était ensuspens jusqu’à ce qu’un règlement pacifique soit conclu.

Dans un contexte où le gouverneur McDougall était bloqué à la frontière avec 350 fusils, censés servir à armer une milice de volontaires du parti canadien, les tensions dans la colonie n’avaient jamais été aussi élevées. Les résidents avaient formé un gouvernement provisoire sous la direction de John Bruce et de Louis Riel pour protéger leurs droits, leurs foyers et leurs familles.

En tant que membre du gouvernement provisoire, vous devez aider à décider de la meilleure façon de procéder pour les gens du pays et de la colonie, en tenant compte de leur avenir et de leur bien-être. Une des étapes les plus importantes dans l’histoire canadienne est sur le point d’être franchie et vous devez contribuer à ce processus. Pour vous aider à prendre vos décisions, vous trouverez divers documents historiques pour vous guider.

Dane-zaa: Contes et chants

Source: Musée Virtuel Canada

À l’intention des étudiants du primaire

Sommaire: Leçon 5: Contes et chants

Informations générales:

Les Dane-zaa ont su préserver leurs contes et leurs chants traditionnels pendant des générations. Les aînés Dane-zaa sont d’habiles conteurs et aiment raconter des histoires aux personnes de tous âges. L’objectif des contes traditionnels Dane-zaa est à la fois d’amuser et d’enseigner nos valeurs et les moyens que nous avons de survivre dans les bois. Ils permettent ausssi aux Dane-zaa de s’interroger sur les conséquences de l’exploitation du gaz et du pétrole sur nos terres traditionnelles. Allez sur À propos des contes Dane-zaa pour en apprendre davantage sur nos traditions orales Dane-zaa.

Les chants traditionnels Dane-zaa ont eux aussi été préservés pendant des siècles et forment une partie essentielle de nos traditions orales contemporaines. Il existe deux types de chants Dane-zaa.
Les Mayiné sont des chants personnels de guérison qui nous sont donnés par nos guides spirituels. Ces chants sont du domaine privé et ne sont presque jamais chantés en public. Vous n’en trouverez pas sur ce site Web.

Les Nááchę yiné sont des chants rapportés du Ciel par nos Rêveurs Dane-zaa. Ces chants peuvent prédire l’avenir ou contenir des messages de Dieu et de nos ancêtres qui sont au Ciel, et qu’ils veulent partager avec les nôtres. On exécute en public ces chants. Des gardiens de chants, comme les joueurs de tambour de Doig River, continuent d’exécuter nos chants pendant les Danses de Rêveurs et les rassemblements de la communauté. Allez sur À propos des chants Dane-zaa pour en apprendre davantage sur nos chants traditionnels Dane-zaa.

Quatre rois et une reine

Source: Musée Virtuel

À l’intention des étudiants des 5e et 6e années

Sommaire: En 1710, quatre jeunes hommes iroquois venant d’Amérique du Nord ont effectué un périple extraordinaire. Ambassadeurs de leur peuple et de leurs nations, ces hommes ont réalisé un voyage long et périlleux jusqu’en Grande-Bretagne pour livrer un message. Lors d’une rencontre officielle avec la Reine récemment devenue veuve, ils furent présentés comme « rois ». Toutefois, on ne leur accorda pas le droit de parole, plutôt un discours fut prononcé en leurs noms.  Dans le discours, ils demandaient de l’aide militaire pour eux et leurs alliés contre la France, ennemie de e l’Angleterre. Le discours demandait également des missionnaires pour que le peuple Iroquois puisse en apprendre davantage sur la religion protestante.

Ce récit encourage les élèves à en apprendre davantage sur l’histoire du Canada durant la période où les quatre rois ont visité l’Angleterre (1710), et à comprendre le lien complexe et évolutif entre l’Amérique du Nord et les superpuissances européennes dominantes de l’époque, plus particulièrement l’Angleterre et la France.

Cartographier l’histoire des pensionnats autochtones grâce à Google Earth

Source: Canadian Geographic
À l’intention des étudiants au secondaire

Sommaire: Canadian Geographic Education a inauguré son tout premier document sur Google Earth Voyager qui met en lumière un chapitre sombre de l’histoire du Canada : le système de pensionnats autochtones.

Aujourd’hui, les survivants de ces écoles et leurs familles s’efforcent encore de guérir leurs blessures. Cette histoire des pensionnats a pour but de sensibiliser les Canadiens et de les renseigner sur le sujet; elle vise ainsi à encourager toute la population, autochtone et non autochtone, à travailler ensemble à la réconciliation.

Le projet Google Earth Voyager présente un mélange de photographies, de liens vers des vidéos et de récits de survivants des pensionnats. Les citations sont tirées du rapport de la Commission de vérité et de réconciliation du Canada, Les survivants s’expriment, qui foisonnent de témoignages bruts et poignants sur les horreurs de la vie en internat.

Parrainé par le gouvernement canadien et dirigé par l’église, ce système comportait un réseau de pensionnats dont le but était d’assimiler les enfants autochtones en les retirant de leur famille et en effaçant par la force leur identité culturelle. Le premier établissement a ouvert ses portes en 1831 et le dernier, l’école résidentielle Gordon en Saskatchewan, a fermé en 1996. Prisonniers de ce système, les enfants ont subi des traumatismes émotionnels, mentaux et physiques. Beaucoup ne sont jamais retournés chez eux; ils ont succombé à la maladie ou sont morts en tentant de s’enfuir.

Inscrivez vous pour recevoir l’info lettre mensuelle des Pratiques exemplaires en Éducation Autochtone :