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Category: Éducation préscolaire

Personnel autochtone et non autochtone des services d’apprentissage et de garde des jeunes enfants au Canada

Source: Kristyn Frank travaille au Centre de la statistique et des partenariats autochtones de la Direction générale des perspectives, de l’intégration et de l’innovation en données sociales et Rubab Arim travaille à la Division de l’analyse sociale et de la modélisation, Direction générale des études analytiques, à Statistique Canada.

Résumé: La présente étude porte sur les caractéristiques sociodémographiques et les caractéristiques d’emploi des travailleurs des services d’apprentissage et de garde des jeunes enfants (SAGJE) qui sont des membres des Premières Nations, Métis ou Inuits. Les données du questionnaire détaillé du Recensement de 2016 ont été utilisées pour étudier deux groupes professionnels, soit les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants. Des comparaisons ont également été effectuées avec le personnel non autochtone des SAGJE dans les mêmes groupes professionnels. L’étude révèle que les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants des Premières Nations, métis et inuits étaient plus susceptibles d’être plus jeunes que leurs homologues non autochtones. En outre, la proportion d’hommes parmi les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants des Premières Nations était plus élevée que parmi les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants non autochtones. Les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants des Premières Nations et inuits étaient moins susceptibles de travailler à temps plein que les éducateurs/éducatrices et aides-éducateurs/aides-éducatrices de la petite enfance et les gardiens/gardiennes d’enfants non autochtones. Des différences ont également été observées entre les secteurs d’activité.

Cadre d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones

Source: Gouvernement du Canada

Résumé: Les enfants occupent une place sacrée dans la culture des peuples autochtones. Il s’y ajoute une responsabilité tout aussi sacrée de s’occuper d’eux. Des programmes, des services et des mesures de soutien en matière d’apprentissage et de garde des jeunes enfants de grande qualité, adaptés à la culture, bien financés et conçus spécifiquement pour les familles et les communautés autochtones feront une réelle différence dans les premières expériences des enfants. Ils favoriseront également le développement des enfants et leur réussite dans la vie. De bons programmes d’apprentissage et de garde donnent aux jeunes enfants un fort sentiment d’identité. Ils leur offrent des possibilités de s’instruire et de se préparer à l’école et contribuent à leur santé et à leur bien-être, de la petite enfance à l’âge adulte.

Les programmes autochtones d’apprentissage et de garde offrent aux parents et aux familles un soutien global pour qu’ils participent à leur culture et à leurs langues. Les programmes permettent d’accéder à de l’information et à des ressources, de créer des liens avec la communauté, d’harmoniser les besoins uniques en matière de santé, d’éducation et de services sociaux, et d’assurer la garde des enfants pendant que les parents participent à la vie traditionnelle, travaillent, suivent une formation, poursuivent des études et s’adonnent à d’autres aspects de leur vie.

Cadre d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones

Source: Gouvernment du Canada

Résumé: Le cadre d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones est le résultat des efforts du gouvernement du Canada et des Autochtones en vue d’élaborer conjointement un cadre de transformation pour les Autochtones, qui reflète les cultures, les aspirations et les besoins uniques des enfants inuits, métis et des Premières Nations de l’ensemble du Canada.

Ce cadre établit une vision commune, ainsi que les principes et la voie à suivre en ce qui a trait à l’apprentissage et à la garde des jeunes enfants autochtones : un Canada où tous les enfants autochtones ont la possibilité de participer à des programmes d’apprentissage et de garde des jeunes enfants de grande qualité, qui sont ancrés dans leur culture.

Poursuivre l’apprentissage

Source: Colombie-Britannique – Open School BC

À l’intention des parents et des gardiens

Résumé: Suggestions à l’intention des parents et des gardiens concernant l’éducation des enfants.

Voici des ressources et des activités d’apprentissage quotidiennes, simples et concises, pour les enfants de tout âge. Un bon nombre des activités présentées peuvent être réalisées individuellement, mais il est souvent plus agréable de les réaliser avec un frère, une sœur ou un autre membre de la famille.

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada

Sommaire : Faits saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis, et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis, et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis, et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada

Faits Saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans, et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

Enfances interrompues: Surreprésentation des enfants autochtones et noirs au sein du système de bien-être de l’enfance de l’Ontario

Source: Commission ontarienne des droits de la personne

Sommaire: Quand les responsables du bien-être de l’enfance retirent des enfants du domicile de peur qu’ils fassent l’objet de mauvais traitements ou de négligence, la situation peut être traumatisante et tragique pour toutes les personnes concernées, c’est-à-dire les enfants, leurs familles et même la collectivité. La prise en charge a des répercussions profondes pouvant nuire au plein épanouissement futur de l’enfant. La nécessité de prendre certains enfants en charge pour assurer leur sécurité demeure une triste réalité. Trop souvent, malheureusement, pour les familles métisses, inuites, de Premières Nations[1], noires, ou autrement racialisées, l’intervention du système de bien-être de l’enfance et le retrait d’enfants entraînent toutes sortes de préoccupations liées à la capacité du système de combler leurs besoins ou ceux de leurs enfants, ou au caractère néfaste ou discriminatoire de ce système.

Encouragez votre enfant à apprendre et à aimer les mathématiques

Source: Council of the Ontario Directors of Education (CODE)

À l’intention des parents et ceux qui ont la responsabilité des enfants 

Sommaire: Lorsque vous appuyez et encouragez  l’apprentissage chez votre enfant, son succès est influencé par votre approche positive.

Cette ressource appuie l’engagement des parents en utilisant des moyens qui ne sont pas axés sur l’enseignement direct des mathématiques. Ce matériel vise à stimuler l’engagement des parents dans l’apprentissage des mathématiques de leurs enfants au primaire et à éclairer, appuyer et promouvoir leur travail en tant que premiers enseignants pour leurs enfants. 

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada, 2016

Sommaire: Faits saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans, et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

La maternité précoce chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les Métisses et les Inuites

Source: Statistique Canada

Sommaire: Dans la présente étude, on examine la prévalence de la maternité prévove (c.-à-d. le fait de devenir mère avant l’âge de 20 ans) chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les Métisses et les Inuites âgées de 20 à 44 ans, en s’appuyant sur les données de l’Enquête auprès des peuples autochtones (EAPA) de 2012. Les données de l’Enquête sociale générale (ESG) de 2011 sont utilisées pour les femmes non autochtones. De plus, l’étude examine si le fait d’avoir vécu une maternité précoce est associé à des résultats différents sur le plan de la scolarité et de l’emploi.

  • Parmi les femmes autochtones de 20 à 44 ans, 45 % des Inuites, 28 % des femmes des Premières Nations vivant hors réserve et 20 % des Métisses sont devenues mères avant l’âge de 20 ans. Ce même pourcentage était de 6 % parmi les femmes non autochtones du même groupe d’âge.
  • Parmi les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les femmes de 20 à 24 ans étaient moins susceptibles d’avoir vécu une maternité précoce (18 %) que les femmes de 40 à 44 ans (30 %). Dans le cas des Métisses et des Inuites, l’écart n’était pas statistiquement significatif.
  • Les femmes autochtones ayant vécu une maternité précoce  sont moins susceptibles d’avoir un diplôme d’études secondaires. Chez les Inuites, par exemple, 40 % de celles devenues mères à l’adolescence avaient un diplôme d’études secondaires, comparativement à 59 % de celles qui le sont devenues plus tard dans la vie.
  • Parmi celles ayant au moins un diplôme d’études secondaires, les femmes autochtones devenues mères à l’adolescence ont les mêmes chances d’occuper un emploi que celles qui sont devenues mères plus tard. Cette constatation est vraie pour tous les groupes autochtones.

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