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Category: Éducation préscolaire

Cadre d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones

Source: Gouvernment du Canada

Résumé: Le cadre d’apprentissage et de garde des jeunes enfants autochtones est le résultat des efforts du gouvernement du Canada et des Autochtones en vue d’élaborer conjointement un cadre de transformation pour les Autochtones, qui reflète les cultures, les aspirations et les besoins uniques des enfants inuits, métis et des Premières Nations de l’ensemble du Canada.

Ce cadre établit une vision commune, ainsi que les principes et la voie à suivre en ce qui a trait à l’apprentissage et à la garde des jeunes enfants autochtones : un Canada où tous les enfants autochtones ont la possibilité de participer à des programmes d’apprentissage et de garde des jeunes enfants de grande qualité, qui sont ancrés dans leur culture.

Poursuivre l’apprentissage

Source: Colombie-Britannique – Open School BC

À l’intention des parents et des gardiens

Résumé: Suggestions à l’intention des parents et des gardiens concernant l’éducation des enfants.

Voici des ressources et des activités d’apprentissage quotidiennes, simples et concises, pour les enfants de tout âge. Un bon nombre des activités présentées peuvent être réalisées individuellement, mais il est souvent plus agréable de les réaliser avec un frère, une sœur ou un autre membre de la famille.

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada

Sommaire : Faits saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis, et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis, et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis, et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada

Faits Saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans, et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

Enfances interrompues: Surreprésentation des enfants autochtones et noirs au sein du système de bien-être de l’enfance de l’Ontario

Source: Commission ontarienne des droits de la personne

Sommaire: Quand les responsables du bien-être de l’enfance retirent des enfants du domicile de peur qu’ils fassent l’objet de mauvais traitements ou de négligence, la situation peut être traumatisante et tragique pour toutes les personnes concernées, c’est-à-dire les enfants, leurs familles et même la collectivité. La prise en charge a des répercussions profondes pouvant nuire au plein épanouissement futur de l’enfant. La nécessité de prendre certains enfants en charge pour assurer leur sécurité demeure une triste réalité. Trop souvent, malheureusement, pour les familles métisses, inuites, de Premières Nations[1], noires, ou autrement racialisées, l’intervention du système de bien-être de l’enfance et le retrait d’enfants entraînent toutes sortes de préoccupations liées à la capacité du système de combler leurs besoins ou ceux de leurs enfants, ou au caractère néfaste ou discriminatoire de ce système.

Encouragez votre enfant à apprendre et à aimer les mathématiques

Source: Council of the Ontario Directors of Education (CODE)

À l’intention des parents et ceux qui ont la responsabilité des enfants 

Sommaire: Lorsque vous appuyez et encouragez  l’apprentissage chez votre enfant, son succès est influencé par votre approche positive.

Cette ressource appuie l’engagement des parents en utilisant des moyens qui ne sont pas axés sur l’enseignement direct des mathématiques. Ce matériel vise à stimuler l’engagement des parents dans l’apprentissage des mathématiques de leurs enfants au primaire et à éclairer, appuyer et promouvoir leur travail en tant que premiers enseignants pour leurs enfants. 

Les différentes caractéristiques des familles des enfants autochtones de 0 à 4 ans

Source: Statistique Canada, 2016

Sommaire: Faits saillants

  • Environ 6 enfants autochtones sur 10 âgés de 0 à 4 ans vivaient dans une famille comptant deux parents. C’était le cas pour 53,7 % des enfants des Premières Nations, 71,8 % des enfants métis et 68,8 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Plus du tiers des enfants autochtones âgés de 0 à 4 ans vivaient avec un parent seul. C’était le cas pour 38,9 % des enfants des Premières Nations, 25,5 % des enfants métis et 26,5 % des enfants inuits de ce groupe d’âge.
  • Environ 1 enfant autochtone sur 6 âgé de 0 à 4 ans vivait dans un ménage avec au moins un grand‑parent. C’était le cas pour 21,2 % des enfants des Premières Nations, 10,5 % des enfants métis et 22,8 % des enfants inuits.
  • Les enfants autochtones représentaient 7,7 % de tous les enfants âgés de 0 à 4 ans, et environ la moitié de tous les enfants en famille d’accueil de ce groupe d’âge.

La maternité précoce chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les Métisses et les Inuites

Source: Statistique Canada

Sommaire: Dans la présente étude, on examine la prévalence de la maternité prévove (c.-à-d. le fait de devenir mère avant l’âge de 20 ans) chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les Métisses et les Inuites âgées de 20 à 44 ans, en s’appuyant sur les données de l’Enquête auprès des peuples autochtones (EAPA) de 2012. Les données de l’Enquête sociale générale (ESG) de 2011 sont utilisées pour les femmes non autochtones. De plus, l’étude examine si le fait d’avoir vécu une maternité précoce est associé à des résultats différents sur le plan de la scolarité et de l’emploi.

  • Parmi les femmes autochtones de 20 à 44 ans, 45 % des Inuites, 28 % des femmes des Premières Nations vivant hors réserve et 20 % des Métisses sont devenues mères avant l’âge de 20 ans. Ce même pourcentage était de 6 % parmi les femmes non autochtones du même groupe d’âge.
  • Parmi les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, les femmes de 20 à 24 ans étaient moins susceptibles d’avoir vécu une maternité précoce (18 %) que les femmes de 40 à 44 ans (30 %). Dans le cas des Métisses et des Inuites, l’écart n’était pas statistiquement significatif.
  • Les femmes autochtones ayant vécu une maternité précoce  sont moins susceptibles d’avoir un diplôme d’études secondaires. Chez les Inuites, par exemple, 40 % de celles devenues mères à l’adolescence avaient un diplôme d’études secondaires, comparativement à 59 % de celles qui le sont devenues plus tard dans la vie.
  • Parmi celles ayant au moins un diplôme d’études secondaires, les femmes autochtones devenues mères à l’adolescence ont les mêmes chances d’occuper un emploi que celles qui sont devenues mères plus tard. Cette constatation est vraie pour tous les groupes autochtones.

Un nouveau rapport offre un aperçu sans précédent sur la réalité des familles, de l’école et de la vie professionnelle dans les communautés des Premières Nations au Canada

Source: Le Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations (CGIPN)

Sommaire: Un nouveau rapport que publie le Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations (CGIPN) offre un aperçu exceptionnel et sans précédent d’un vaste éventail de facteurs liés à la petite enfance, à l’éducation et à l’emploi qui ont une incidence sur la vie dans les réserves et les collectivités nordiques des Premières Nations d’un bout à l’autre du Canada.

C’est maintenant le temps : Nos données, nos histoires, notre avenir – Rapport national de l’Enquête régionale sur la petite enfance, l’éducation et l’emploi chez les Premières Nations est l’aboutissement d’une importante enquête quinquennale dirigée par le CGIPN, la source privilégiée d’information sur les membres et les communautés des Premières Nations, et ses partenaires régionaux.

L’Enquête régionale est la plus complexe au plan technique de toute l’histoire du CGIPN, sur la petite enfance, l’éducation et l’emploi chez les Premières Nations (EREEEPN, ou EREEE) révèle une forte corrélation entre, d’une part, l’importance que les Premières Nations accordent à la langue, à la culture et à la famille, et, d’autre part, la situation de l’éducation, de l’emploi, de la santé et du bien-être dans leurs communautés.

« Les résultats de cette importante enquête dirigée par les Premières Nations révèlent toutes les forces, les défis et la résilience de nos communautés à travers le pays », affirme Gail Mc Donald, directrice générale du CGIPN. « Dans un avenir immédiat, nous espérons que les données présentées dans ce rapport serviront d’éléments de discussion pour trouver des façons de bonifier les forces présentes dans nos communautés et de bâtir sur celles-ci, tout en étant une riche source d’information qui guidera nos dirigeants et inspirera les chercheurs, les personnes qui élaborent des politiques et autres décideurs, pendant encore plusieurs années. »

Enfants et adolescents autochtones

Source: Ministère des Services a L’Enfances et à la Jeunesse

Résumé : En novembre 2012, l’Ontario a ajouté plus de 80 nouveaux travailleurs et travailleuses sociaux pour la santé mentale et la lutte contre les dépendances. Ces travailleurs et travailleuses aideront près de 4 000 enfants et jeunes autochtones à bénéficier d’un accès amélioré à des services de santé mentale et de lutte contre les dépendances qui tiennent compte des différences culturelles.

Grâce à la Stratégie ontarienne globale de santé mentale et de lutte contre les dépendances, ces nouveaux travailleurs et travailleuses offriront :

  • des services de counseling
  • des services de thérapie individuelle et collective
  • des services d’intervention immédiate
  • un éventail de services de santé traditionnels, y compris des cérémonies et des enseignements traditionnels.

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